On peut donner bien des choses à ceux que l’on aime. Des paroles, un repos, du plaisir. Tu m’as donné le plus précieux de tout : le manque. Il m’était impossible de me passer de toi, même quand je te voyais tu me manquais encore. Christian Bobin
J’invite mes camarades masculins à mettre fin à ce type de comportements. Le marché féminin est de plus en plus laborieux, je le concède. Mais est-ce à dire que tous les coups sont permis ?
Il devient capital de réintroduire un minimum d’éthique dans la manière d’aborder les dames.
« Même quand je te voyais, tu me manquais encore » ! Mais comment est-ce humainement possible ? Mêmes les philosophes les plus dérangés n’oseraient pas une telle formule. Pourquoi tant de filouterie ? N’avez-vous donc aucune limite, chers confrères ?
Cette catégorie de mots fait toujours de l’effet aux femmes, même centenaires, édentées et à l’article de la mort. Elles savent bien quel est leur caractère trompeur, mais ne peuvent s’empêcher d’en savourer la douceur.
Toutefois, vouloir leur offrir du bien n’est pas une raison suffisante pour plonger dans le mal de cette manière. Ne les encourageons plus à en vouloir toujours plus, et à nous enfoncer toujours plus dans le puits du délit.
Sélectionnons des démarches plus vertueuses pour aboutir à leur cœur.
J’ose croire que nous souhaitons tous un monde plus juste pour nos enfants et nos petits-enfants. Cela passe par l’éradication de la malhonnêteté.
Quel héritage voulons-nous laisser à la postérité ?
La vie est trop brève pour être petite
Faisons d’elle une balade inédite.
M²CD